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Artemia, une animation de qualité clé en main - La Nouvelle République 20 déc. 10

Article publié le 20 décembre 2010 dans La Nouvelle République, à propos de la Société Artemia et de son activité saisonnière d'organisation de fêtes de fin d'année.

"Il est loin le temps où organiser un arbre de Noël était une vraie galère. Aujourd'hui, des entreprises prennent tout en main.

Ainsi Artémia, basée à Tours, rue Buffon, qui réalise 35 % de son chiffre d'affaires autour des arbres de Noël. "On en organise une centaine par an, sur toute la France, mais on propose également des séminaires pour des entreprises, des spectacles de rue et on sous-traite les parties artistiques pour des agences événementielles. On ne travaille pas avec les particuliers", précise Didier Barbeau, son responsable, qui travaille en duo avec Nathalie Guellier.

De 10 enfants à 5.000 personnes

L'agence, qui va bientôt fêter son dixième anniversaire, en a aujourd'hui terminé avec 2010 et travaille déjà sur 2011. "En décembre, janvier et février, on prend les demandes des gros comités d'entreprises "organisés". Ensuite, on s'occupe de ceux un peu moins organisés. Le creux, pour nous, c'est en juillet et août. En septembre, c'est la folie, avec les CE retardataires, sachant que s'ils veulent les meilleurs artistes, c'est foutu pour eux."

Artemia, qui revendique être catalogué dans l'organisation "haut de gamme", travaille principalement sur Paris et la région parisienne. "Le plus petit arbre qu'on ait fait, c'était pour dix enfants. Le plus, c'était pour 5.000 personnes, pour la société Cap Gemini", raconte Didier.

Côté animations, pas de grosses surprises. Pour les petits CE, les spectacles de magie et les marionnettes marchent toujours. Pour les collectivités, le spectacle de rue a les faveurs du public.

Dans le catalogue d'Artemia, on trouve près de 2.000 artistes, dont certains travaillent régulièrement avec la société tourangelle. "On peut même nous demander des choses originales, comme de la danse traditionnelle chinoise", souligne le patron, qui, va un peu souffler à partir de mi-janvier, date des derniers arbres de Noël, ceux des grandes enseignes commerciales. Et oui, sur les dents en cette fin d'année, elles n'ont en général pas le temps d'organiser leur propre fête avant le 1er janvier.

Publié le 20/12/2010

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